LES COMMUNIQUÉS
Jean-Marie Bockel
16/04/2018
«Débat sur l’intervention des forces armées françaises en Syrie»
Jean-Marie BOCKEL, Sénateur du Haut-Rhin, ancien Ministre, est intervenu en séance ce lundi 16 avril 2018, au nom du groupe Union Centriste, dans le cadre du débat sur l’intervention des forces armées françaises en Syrie.
Le Sénateur a tout d’abord affirmé le soutien du groupe Union Centriste à l’initiative et à l’action mesurées et proportionnées du chef de l’État et de nos armées, dans la nuit de vendredi à samedi.
Jean-Marie BOCKEL a rappelé que la situation est aujourd’hui différente de celle d’août 2013 puisque le régime de Bachar al-Assad est consolidé et contrôle désormais la Syrie « utile ». Le Sénateur a souligné que les frappes françaises ne constituent donc pas la manifestation d’une entrée en guerre, mais une action punitive et dissuasive.
Pour Jean-Marie BOCKEL, la crédibilité de notre diplomatie dépendait de l’intervention des forces armées françaises. Par ces frappes ciblées et calibrées, la France a fait respecter une « ligne rouge » plusieurs fois rappelée par elle et ses alliés.
Jean-Marie BOCKEL a ensuite réaffirmé la nécessité de poursuivre le dialogue politique avec la Russie, principal allié de la Syrie, dont dépend l’avenir de la région.
Il a également salué l’appel à l’ONU du Président de la République à reprendre sans tarder l’initiative sur les plans politique, chimique et humanitaire pour avancer, dans l’unité, vers un règlement de la crise syrienne.
Par ailleurs, Jean-Marie BOCKEL a rappelé la nécessité d’inscrire l’intervention en Syrie dans un cadre onusien. Il a pour cela interpellé le Ministre des affaires étrangères, Jean-Yves LE DRIAN, sur la nécessité de sortir de l’impasse et de surmonter le blocage persistant de la Russie à l’application de la résolution 2118 des Nations-Unies.
Jean-Marie BOCKEL a d’autre part interpelé le Ministre sur le fait qu’à l’heure où il est question de relancer l’Europe de la Défense, aucun autre État membre de l’Union européenne n’a participé, même symboliquement, à la coalition.
Enfin, Jean-Marie BOCKEL a interpelé le Ministre sur la stratégie proche-orientale de la France. Pour le Sénateur, la France doit pouvoir parler avec l’ensemble des protagonistes, sans exclusive. Elle doit aussi pouvoir remettre au cœur des discussions la question d’une future Constitution et l’organisation d’élections en Syrie.
Jean-Marie BOCKEL a rappelé que la situation est aujourd’hui différente de celle d’août 2013 puisque le régime de Bachar al-Assad est consolidé et contrôle désormais la Syrie « utile ». Le Sénateur a souligné que les frappes françaises ne constituent donc pas la manifestation d’une entrée en guerre, mais une action punitive et dissuasive.
Pour Jean-Marie BOCKEL, la crédibilité de notre diplomatie dépendait de l’intervention des forces armées françaises. Par ces frappes ciblées et calibrées, la France a fait respecter une « ligne rouge » plusieurs fois rappelée par elle et ses alliés.
Jean-Marie BOCKEL a ensuite réaffirmé la nécessité de poursuivre le dialogue politique avec la Russie, principal allié de la Syrie, dont dépend l’avenir de la région.
Il a également salué l’appel à l’ONU du Président de la République à reprendre sans tarder l’initiative sur les plans politique, chimique et humanitaire pour avancer, dans l’unité, vers un règlement de la crise syrienne.
Par ailleurs, Jean-Marie BOCKEL a rappelé la nécessité d’inscrire l’intervention en Syrie dans un cadre onusien. Il a pour cela interpellé le Ministre des affaires étrangères, Jean-Yves LE DRIAN, sur la nécessité de sortir de l’impasse et de surmonter le blocage persistant de la Russie à l’application de la résolution 2118 des Nations-Unies.
Jean-Marie BOCKEL a d’autre part interpelé le Ministre sur le fait qu’à l’heure où il est question de relancer l’Europe de la Défense, aucun autre État membre de l’Union européenne n’a participé, même symboliquement, à la coalition.
Enfin, Jean-Marie BOCKEL a interpelé le Ministre sur la stratégie proche-orientale de la France. Pour le Sénateur, la France doit pouvoir parler avec l’ensemble des protagonistes, sans exclusive. Elle doit aussi pouvoir remettre au cœur des discussions la question d’une future Constitution et l’organisation d’élections en Syrie.