LES COMMUNIQUÉS
Environnement et développement durable
Annick Billon
12/01/2017
«Annick Billon sur l'adaptation des territoires littoraux aux changements climatiques : « Les questions littorales méritent une politique plus ambitieuse »»
Annick Billon, sénatrice de la Vendée, est intervenue ce jour dans le cadre de l’examen d’une proposition de loi portant adaptation des territoires littoraux aux changements climatiques. La sénatrice a exprimé les mêmes regrets que ceux déjà soulevés lors de l’examen de la proposition de loi sur l’économie bleue, adoptée l’année dernière : « de tels sujets auraient mérité à eux seuls une politique d’ensemble plus ambitieuse ». Très attendu par les élus locaux qui se sentent démunis face à la problématique du recul du trait de côte, le groupe UDI-UC a voté en faveur de ce texte qui a été adopté par le Sénat.
Pour Annick Billon la question de l’urbanisation en zone littorale, surtout dans le cadre du recul du trait de côte, aurait mérité une étude d’impact, « car ce texte met en œuvre des procédures qui peuvent avoir de très lourdes conséquences pour nos concitoyens et les collectivités du littoral ».
La sénatrice a souligné le travail du Sénat : grâce aux modifications apportées par les commissions du développement durable et des lois, le texte adopté est plus équilibré que dans sa version issue de la première lecture à l’Assemblée nationale. « Les dispositifs sont sécurisés sur le plan juridique, simplifiés, et laissent davantage de libertés aux collectivités, qui pourront y recourir sur la base du volontariat ».
La sénatrice s’est félicitée de l’adoption de ce texte qui, en créant de nouveaux outils permettant aux collectivités littorales d’appréhender le recul du trait de côte dans leur politique d’urbanisme, va dans le bon sens. Elle a toutefois émis le souhait qu’à l’avenir les questions littorales et, plus généralement, maritimes fassent enfin l’objet d’une politique d’ensemble, cohérente et ambitieuse : « nos concitoyens, nos paysages et notre économie le méritent ».
La sénatrice a souligné le travail du Sénat : grâce aux modifications apportées par les commissions du développement durable et des lois, le texte adopté est plus équilibré que dans sa version issue de la première lecture à l’Assemblée nationale. « Les dispositifs sont sécurisés sur le plan juridique, simplifiés, et laissent davantage de libertés aux collectivités, qui pourront y recourir sur la base du volontariat ».
La sénatrice s’est félicitée de l’adoption de ce texte qui, en créant de nouveaux outils permettant aux collectivités littorales d’appréhender le recul du trait de côte dans leur politique d’urbanisme, va dans le bon sens. Elle a toutefois émis le souhait qu’à l’avenir les questions littorales et, plus généralement, maritimes fassent enfin l’objet d’une politique d’ensemble, cohérente et ambitieuse : « nos concitoyens, nos paysages et notre économie le méritent ».