LES COMMUNIQUÉS
Vincent Delahaye
11/12/2018
«Projet de loi de finances pour 2019 - 1ère lecture : Les sénateurs centristes votent le texte révisé par le Sénat»
Ce mardi 11 décembre, le Sénat a adopté le projet de loi de finances 2019. Le groupe Union Centriste a voté le budget largement remanié en séance publique.
« Après les annonces du Président de la République, on pourrait considérer le budget du gouvernement de facto insincère. Néanmoins, le groupe Union Centriste a souhaité saluer le sens de l’anticipation et la sagesse du Sénat en votant le budget largement amélioré en séance publique » a déclaré Vincent DELAHAYE, sénateur de l’Essonne, au nom du groupe Union Centriste.
« Nous avons décidé très tôt, ici au Sénat, de supprimer la hausse des taxes sur les carburants à un moment où le gouvernement s’entêtait encore. » a-t-il poursuivi.
Les sénateurs centristes ont déploré l’opposition quasi-systématique du gouvernement notamment pour supprimer des petites taxes inefficientes, faciliter la transmission d’entreprises, rétablir les jours de carence dans la fonction publique ou encore relever le quotient familial.
Plus globalement, si les élus centristes ont souligné l’effort de clarification et de simplification fiscale, ils ont vivement regretté le manque de réformes structurelles pour réduire les dépenses publiques.
« Depuis 2006, la dépense publique a augmenté de 300 milliards. Et plus de dépenses, c’est forcément plus d’impôts...Les Français n’en peuvent plus du toujours plus d’impôts ! » a souligné le sénateur de l’Essonne.
« Nous devons faire le choix de la responsabilité et du courage en déterminant collectivement les dépenses que nous sommes prêts à baisser et à en accepter les conséquences. Cette démarche ne pourra aboutir que si l’on associe l’ensemble des Français, et en particulier les corps intermédiaires tant négligés depuis le début du quinquennat. Travaillons ensemble pour les Français et pour la France !» a conclu Vincent DELAHAYE.
« Nous avons décidé très tôt, ici au Sénat, de supprimer la hausse des taxes sur les carburants à un moment où le gouvernement s’entêtait encore. » a-t-il poursuivi.
Les sénateurs centristes ont déploré l’opposition quasi-systématique du gouvernement notamment pour supprimer des petites taxes inefficientes, faciliter la transmission d’entreprises, rétablir les jours de carence dans la fonction publique ou encore relever le quotient familial.
Plus globalement, si les élus centristes ont souligné l’effort de clarification et de simplification fiscale, ils ont vivement regretté le manque de réformes structurelles pour réduire les dépenses publiques.
« Depuis 2006, la dépense publique a augmenté de 300 milliards. Et plus de dépenses, c’est forcément plus d’impôts...Les Français n’en peuvent plus du toujours plus d’impôts ! » a souligné le sénateur de l’Essonne.
« Nous devons faire le choix de la responsabilité et du courage en déterminant collectivement les dépenses que nous sommes prêts à baisser et à en accepter les conséquences. Cette démarche ne pourra aboutir que si l’on associe l’ensemble des Français, et en particulier les corps intermédiaires tant négligés depuis le début du quinquennat. Travaillons ensemble pour les Français et pour la France !» a conclu Vincent DELAHAYE.