LES COMMUNIQUÉS
Hervé Marseille, Philippe Bonnecarrère
10/04/2018
«Elections des représentants au Parlement européen : le groupe Union Centriste favorable à la circonscription nationale unique»
Ce mardi 10 avril, le projet de loi relatif à l’élection des représentants au Parlement européen est en débat au Sénat.
Le groupe Union Centriste apporte son soutien à ce texte qui rétablit une circonscription nationale unique pour les prochaines élections européennes prévues le 26 mai 2019.
En effet, les 8 circonscriptions interrégionales actuelles ne parvenaient ni à refléter suffisamment la diversité des courants d’opinion ni à mobiliser les électeurs, sans créer par ailleurs un quelconque lien de proximité entre les élus et le territoire de leur circonscription.
De plus, ce découpage manquait de cohérence sur les plans culturel, économique, social et administratif, notamment suite au redécoupage des régions de 2015.
Enfin, la multiplication des circonscriptions tendait à limiter les effets du scrutin proportionnel auquel les élus Centristes sont attachés.
« La circonscription nationale est techniquement justifiée et politiquement nécessaire ; elle donnera toujours plus de légitimité à son représentant qu’une circonscription locale. Une circonscription nationale et un comportement des partis remettant l’élection européenne à son meilleur niveau sont complémentaires » souligne Philippe BONNECARRERE, Sénateur du Tarn, au nom du groupe.
Avec la circonscription nationale unique, la France retrouve le modèle majoritaire dans l’Union Européenne. Ce mode d’élection répond à la double exigence de garantie du pluralisme politique et d’intelligibilité du scrutin, conditions indispensables au rétablissement de la confiance des Français dans le projet européen.
« Nous saisirons l’occasion du débat national des élections européennes pour faire entendre nos propositions en faveur d’une Europe solidaire et influente » déclare Hervé MARSEILLE, Président du groupe Union Centriste.
En effet, les 8 circonscriptions interrégionales actuelles ne parvenaient ni à refléter suffisamment la diversité des courants d’opinion ni à mobiliser les électeurs, sans créer par ailleurs un quelconque lien de proximité entre les élus et le territoire de leur circonscription.
De plus, ce découpage manquait de cohérence sur les plans culturel, économique, social et administratif, notamment suite au redécoupage des régions de 2015.
Enfin, la multiplication des circonscriptions tendait à limiter les effets du scrutin proportionnel auquel les élus Centristes sont attachés.
« La circonscription nationale est techniquement justifiée et politiquement nécessaire ; elle donnera toujours plus de légitimité à son représentant qu’une circonscription locale. Une circonscription nationale et un comportement des partis remettant l’élection européenne à son meilleur niveau sont complémentaires » souligne Philippe BONNECARRERE, Sénateur du Tarn, au nom du groupe.
Avec la circonscription nationale unique, la France retrouve le modèle majoritaire dans l’Union Européenne. Ce mode d’élection répond à la double exigence de garantie du pluralisme politique et d’intelligibilité du scrutin, conditions indispensables au rétablissement de la confiance des Français dans le projet européen.
« Nous saisirons l’occasion du débat national des élections européennes pour faire entendre nos propositions en faveur d’une Europe solidaire et influente » déclare Hervé MARSEILLE, Président du groupe Union Centriste.